Quatre immunosuppresseurs peuvent être utilisés en France dans la sclérose en plaques récurrente (SEP-R) très active associée ou non à une progression du handicap : le natalizumab (TYSABRI), le fingolimod (GILENYA), l’ocrelizumab (OCREVUS) et la mitoxantrone (ELSEP – NOVANTRONE et génériques). Ces spécialités font toutes l’objet d’un plan de gestion des risques.
Le plan personnalisé de coordination en santé (PPCS) est un outil de partage d’informations pour l’ensemble des acteurs professionnels et les usagers. Il facilite la coordination des parcours de santé complexes en s’appuyant sur les systèmes d’informations en santé. Il repose sur une démarche centrée sur la personne et son entourage et permet de personnaliser les prises en charge médicales, et les accompagnements sociaux et médicosociaux.
Avis défavorable au maintien du remboursement dans le traitement symptomatique de la claudication intermittente des artériopathies chroniques oblitérantes des membres inférieurs (au stade 2)
Service médical rendu désormais insuffisant (auparavant il était faible)
Intérêt clinique important et progrès thérapeutique mineur dans la prise en charge thérapeutique de la mucoviscidose chez les enfants > 2 ans, homozygotes pour la mutation F508del du gène CFTR.
en monothérapie dans le traitement des spasmes infantiles,
en association, dans le traitement de l’épilepsie partielle résistante, lorsque toutes les autres associations thérapeutiques appropriées se sont révélées insuffisantes ou mal tolérées, mais pas d’avantage clinique démontré par rapport à SABRIL dans la stratégie thérapeutique.